Employer les méthodes actives dans l’enseignement de grec ancien : pourquoi et comment ? Une expérience
Intervention de Divna Soleil, enseignante à Aix-Marseille Université, lors de la séance du séminaire L’Antiquité en dialogue du 13 mai 2023

Les méthodes actives, qui permettent d’enseigner le latin et le grec ancien comme des langues vivantes, connaissent un développement extraordinaire ces dernières années. Cependant, on constate que ce développement concerne surtout les différentes propositions didactiques en ligne, souvent émanant d’établissements privés et destinées aux adultes passionnés, et on se demande souvent si elles sont réellement transposables dans l’enseignement public français, qu’il s’agisse du secondaire ou du supérieur. Dans cette communication, je propose de voir, à partir d’un exemple concret, de quelle manière on peut utiliser les méthodes actives dans le cadre d’un enseignement universitaire de grec ancien destiné aux grands débutants. En effet, il me semble possible de tirer profit de ces méthodes, à condition de tenir compte de la situation d’enseignement particulière à laquelle on est confronté. On verra comment on peut, à travers un texte et des images conçus pour un public donné, associer la méthode traditionnelle, « grammaire-traduction », et les méthodes actives. On essayera de voir aussi quelle est la « plus-value » de ce type d’enseignement.
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OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Flore Kimmel-Clauzet (31 mai 2023). Employer les méthodes actives dans l’enseignement de grec ancien : pourquoi et comment ? Une expérience. L'Antiquité en dialogue. Consulté le 25 mars 2025 à l’adresse https://antiqdialog.hypotheses.org/2330